TERRE DE LEGENDES
Si tu entends du cœur bruissant d'une forêt,
Comme Muse tranquille: un fleuve discret.
Écoute l’Elfe blanc te contant la légende,
D'une gaie nourricière enchâssée dans la lande.
La prude contourna monts et bois par le val
Bien avant qu’emportés par une Fée-cheval,
Ne fuient les quatre fils aux confins des Ardennes,
Par le vert chemin des Dames coralliennes.
Or, moi qui ne suis rien, j’aimerais qu'en mon sang:
Vive une eau "grise" où mirer mes rêves nacrés
Au clair d'une déesse... en montagne sacrée !
Ô vert pays de l’homme aux semelles de vent:
Dans mon cœur apaisé coulerait la rivière,
Qui fait l’amour en boucle... aux poètes d’hier.
*
RHD
Retour aux articles de la catégorie POÈMES ATTACHÈS -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 13 autres membres